Après quelques parties, une chose est sûre, Rastan est un jeu extrêmement ardu à la difficulté exponentielle. Quand j’ai lu sur Twitter que « Grâce à Rastan, j’ai découvert le ragequit », après quelques parties, j’ai vite compris pourquoi. J’ai sué à grosses gouttes pour en venir à bout.
Le jeu se compose en 7 zones qui sont découpées en 2 niveaux + 1 Boss. La première partie est toujours un environnement extérieur. Plaines, forêt, montagne, grotte, la console fait de son mieux pour retranscrire la région de Semia au plus proche de sa version d’origine.
La seconde partie est un milieu clos (château ou un donjon) qui est la demeure du seigneur de la zone = Boss . Cette résidence est remplie de pièges en tout genre et atteindre la salle du trône (non pas les WC) ne sera pas un long fleuve tranquille. Je reviendrai sur ce point un peu plus tard.
Le bestiaire est relativement bien fourni, toutes (ou presque) les créatures fantastiques de la mythologie grecque sont présentes (Echidna, Chimères, Harpies, soldat squelette, magiciens…), chacune ayant sa propre attaque et arcade oblige, rapporte un certain nombre de points.
Même si elles ne résistent pas bien longtemps aux coups de lame de notre héros et qu’elles disparaissent dans un « splash » de sang, il faudra faire attention à ne pas se faire surprendre car les ennemis « poppent » à l’infini.
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