Vous est-il déjà arrivé de vous réveiller tôt le matin afin de jouer au jeu pour lequel vous vous êtes justement couché tard la veille ?
Avec Aladdin ça a été le cas pendant une bonne partie de l’hiver 1993 car il fait partie de mes jeux de Noël. Je l’avais dûment inscrit sur ma liste au Père Noël la même année que le Mega CD. Comme j’avais été particulièrement sage, j’avais donc trouvé au pied du sapin (en plastique) le Mega CD avec son obligatoire Road Avenger, Batman Returns (toujours plus cool sur ce support que sa version Megadrive puisqu’il comprend de chouette séquences en véhicules utilisant l’ersatz de mode 7) et, Aladdin ! De quoi crâner au collège, même si personne n’a montré la moindre jalousie envers mon Mega CD, les ignares !
Nous nous apprêtions, ma famille et moi à un séjour à Eurodisney, autant vous dire que tout était réuni pour faire de ce Noël un souvenir encore bien prégnant !
J’avais déballé mes cadeaux avec fébrilité, bondi dans tous les sens intérieurement, et vivement remercié un hypothétique Père Noël. Ne restaient que quelques branchements à faire pour profiter de mes cadeaux ce qui, malgré l’utilisation intensive de la multiprise quand il fallut s’atteler au Mega CD, ne me prit pas bien longtemps !
Sitôt la cartouche insérée, je compris que je n’allais plus voir les jeux de plate-forme de la même façon.
25 décembre 2020 at 10:27
Encore un superbe article. J’ai qu’une envie maintenant, relancer une petite session.Les animations sont vraiment dingue est bourré d’humour. Une vrai prouesse quand on sait comment le jeu a était développé.